
Bonjour à tous,
C’est avec émotion que je tapote ces mots sur mon clavier. Je suis en pleine création d’un site web et, entre deux migraines et après plusieurs appels désespérés à mes personnes ressources, je me suis décidée à regarder un tuto sur youtube.
Et là, illumination… le type derrière l’écran avec sa coupe fashion et son ton désinvolte m’a fait comprendre à quel point c’est « izi » de créer son site. Alors j’ai googlé une image, et me voilà en train d’écrire un putain de premier article. Mince, j’ai dit « putain ». Va falloir que je réfléchisse à un truc important. J’écris comme je parle ou pas ? Dans la vie, en vrai, des gros mots j’en dis parfois, des fois, trop de fois. Mais en même temps, dans la vraie vie, un gros mots ça reste un mot. Et les mots, c’est toujours mieux que rien.
La claquette
Les mots, ça aide à se faire comprendre. Les mots ça peut calmer, adoucir. Mais les mots, c’est vrai, ça peut aussi faire mal. Les mots, c’est un peu comme la claquette du bled, en plastique. On décide de ce qu’on veut en faire.
Soit on l’utilise pour marcher en préservant l’intégrité de son pied, soit on s’en saisit d’une main rageuse et on la lance avec fougue vers l’objet de sa colère (son rejeton hilare et essoufflé, la télé muette, un insecte, ou pour les plus innovants, G. Bush Junior).

Alors, je fais quoi ? Bon, pas non plus une urgence la chose. C’est pas comme si on était entouré de gens pour qui les mots sont importants.
Exemple :

On est d’accord ? Sinon, passez-vous juste une chanson de RAP et vous comprendrez un peu mieux ce que je veux dire. Mais ça, c’est mon avis de maman, de femme, d’être humain. Et surtout, ça, ça fera l’objet d’un putain d’autre article.